
De Holi à Divali,
l'esprit de fête...
© Adobe Stock/shelbys

© Adobe Stock/shelbys
De Holi à Divali, l'esprit de fête
À Maurice, la religion ne sépare pas les gens ; elle les rassemble. Les fêtes hindouistes en sont un parfait exemple. Ces célébrations, à la fois hautes en couleur et chargées de symbolisme, occupent une place centrale dans le calendrier mauricien. Or, même si toutes les communautés insulaires ne les vivent pas avec la même intensité, elles en partagent largement les valeurs : la vertu, la bienveillance, la joie, la fraternité.
Connaissez-vous Ganesh ? Mais si, vous savez bien, le dieu hindou à tête d'éléphant ! Eh bien, figurez-vous que cette créature à quatre bras et une trompe est la divinité la plus populaire parmi les croyants. Et ceux de Maurice ne font pas exception. D'ailleurs, leur amour pour le fils de Shiva se mesure pleinement à l’enthousiasme des grandes foules qui, dans toute l’île, battent le pavé lors de Ganesh Chaturthi, sa fête annuelle (qui est aussi un jour férié !).
Organisé entre la fin août et le début septembre pour célébrer l’anniversaire de la divinité éléphantesque, cet événement donne lieu à dix jours de liesse et de dévotion. Chaque famille installe alors au milieu du foyer une statue du dieu — faite « maison », le plus souvent ! — et la couvre régulièrement d’offrandes : des fleurs, des fruits, des bougies, des lampes à huile et, bien sûr, des modak. Ces boulettes sucrées et garnies de noix de coco seraient, raconte-t-on, le péché mignon de Ganesh. On comprend mieux d'où lui vient son éternel petit bidon.
Ces actes de piété se terminent en apothéose quand, le dernier jour de Ganesh Chaturthi, tous les Mauriciens ou presque descendent dans la rue pour suivre ou admirer une multitude de processions joyeuses et colorées, accompagnées de danses et de chants. Un point commun à tous ces défilés : le visarjan, l’immersion des idoles du dieu à tête d’éléphant dans une rivière, un lac ou la mer. Un geste symbolique qui conclut la cérémonie et, par la même occasion, marque le départ de Ganesh dans les montagnes de Kailash où il a élu domicile, le dieu étant alors censé emporter avec lui tous les malheurs et les péchés des hommes.

Les fameux modak, la gourmandise préférée de Ganesh.
Une explosion de couleurs
Les Mauriciens ont le goût de la fête et, au-delà du Ganesh Chaturthi, l’hindouisme leur offre de nombreuses occasions de le satisfaire. En février, on célèbre Maha Shivaratri, « la nuit du Seigneur Shiva ». Après plusieurs jours de jeûne et d’abstinence, près de 400 000 croyants, soit un tiers des Mauriciens, entament le Kanwar Yatra, un pèlerinage qui les conduit jusqu’au lac sacré de Grand Bassin où les attend une grande nuit de prière. Une marche pétrie de tolérance, l’ensemble des Mauriciens, quelle que soit leur confession, ravitaillant les pèlerins en eau et en nourriture, tout au long du chemin.
En mars, à l’heure de la pleine lune, Maurice célèbre Holi, la fête des couleurs et des moissons. Tout commence par un feu de joie, le Holika Dahan, inspiré par la légende de Holika, une princesse maléfique qui périt sur le bûcher qu’elle destinait à Prahlad, son neveu, une âme pure et dévouée à Vishnu. Le lendemain, de grandes foules descendent dans la rue ou se retrouvent sur la plage pour danser, chanter et recouvrir ses voisins, de la tête aux pieds, de gulal, des poudres colorées porteuses de vœux et d’espoir. Le rouge symbolise l’amour, le vert, la prospérité, le bleu, la tranquillité, et le jaune, l’optimisme. Une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie !

© Adobe Stock/Evelyn Kobben
Plus spectaculaire encore... Thaipoosam Cavadee, qui se tient en février, est propre à la communauté tamoule. Il s’agit pour elle d’honorer le Seigneur Muruga, le dieu de la guerre et de la sagesse, par des actes de purification et de contrition. C’est ainsi que les croyants partent en procession avec, juché sur leurs épaules, leur cavadee, une arche de bois décorée de fleurs multicolores, de palmes de cocotiers, d’images pieuses ou bien encore de plumes de paon. Pour plus de solennité, certains dévots choisissent de faire vœu de silence. Et ils le montrent ! Ils se plantent dans la langue ou en travers des joues des aiguilles d’argent et des lancettes métalliques. Comme le dit une formule consacrée : âme sensible, s’abstenir.
Que la lumière soit...
S’il est une fête hindoue qui met Maurice en beauté, c’est assurément Divali, la fête des lumières. Elle célèbre la victoire du bien contre le mal, celle du Seigneur Rama contre le démon qui avait osé enlever Sita, son épouse : un certain Ravena. Le mythe veut que, pour fêter le retour du héros, les habitants d’Ayodhya, la cité où le couple divin avait élu domicile, aient illuminé la ville avec des rangées de diyas, de petites lampes à huile. Elles représentent la lumière qui guide et éclaire l’esprit, en chassant ces ténèbres que sont la peur et l’ignorance. Et voilà comment, aujourd’hui encore, une multitude de flammes et de guirlandes brillent dans les nuits mauriciennes, chaque automne, entre la fin octobre et novembre. Un spectacle vraiment féerique et... hautement symbolique.
L’époque est doublement magique car les Mauriciens sont alors à l’image de leurs décors : lumineux. Il faut dire que Divali déborde largement du cadre religieux pour générer dans toute la population un grand élan d’humanité, d’optimisme et d’allégresse. On prend quelques congés, on s’offre des cadeaux, on visite parents et amis, de sorte qu’à l’approche de l’été austral, tout le pays est à la fête, multipliant les concerts et feux d’artifice, tandis que les foyers comme les plages retentissent des rumeurs joyeuses de repas épiques.
On s’y régale notamment de quelques sucreries locales. Il y a les gulab jamun que les Tamouls mauriciens appellent aussi bonbon kalou ; ce sont des beignets parfumés à la cardamome et servis avec un épais sirop à l’eau de rose. Citons également les nankhatai, de petits sablés à la cardamome, les ladoo besan, des boulettes sucrées à base de farine de pois chiches (le besan ; d'où le nom de cette spécialité) et les gâteaux patate qui associent une pâte à la patate douce frite à une farce mariant la noix de coco, la cardamome et le sucre de canne. Des délices que vous serez forcément amené(e) à goûter si vous séjournez à Maurice durant Divali. En effet, les Mauriciens, qui ont généralement le sens du partage, font alors preuve d’une générosité carrément exacerbée. Et elle n’oublie personne, pas même les voyageurs !

Un physique qui ne trompe pas !
Faites l’expérience lors de votre voyage à l’île Maurice. Entrez dans un temple hindou et demandez à celui ou celle qui vous accompagne laquelle, parmi les dizaines de statues — ou « idoles » — qui décorent ce lieu sacré, suscite le plus sa sympathie. À ce jeu-là, vous verrez, c’est souvent Ganesh, le dieu à tête d’éléphant, qui l’emporte. Protecteur et bienveillant, source de courage, de chance et d’énergies positives, le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de la prudence et de la connaissance jouit d’une immense popularité parmi les dévots. D’ailleurs, par une statuette déposée à l’entrée de leur foyer ou de leur commerce, par un médaillon collé sur le tableau de bord de leur voiture ou par un bijou pendu au cou de leur enfant, ceux-là ne manquent jamais de s’attirer ses bonnes grâces.
Même les profanes ne restent pas indifférents à cette divinité empreinte de bonhomie avec ses grandes oreilles bien ouvertes pour rester à l’écoute du monde et son ventre arrondi pour mieux en digérer les souffrances. D’ailleurs, il n’est pas rare que les voyageurs rentrent de l’île Maurice avec, dans leur bagage, une statuette, un pendentif, une bague ou une autre breloque à l’effigie du dieu à tête d’éléphant. Un cadeau judicieux : il est dit qu’il porte bonheur à celui qui le reçoit comme à celui qui l’offre !
L’avez-vous remarqué ? Ganesh est systématiquement représenté avec l’une de ses défenses brisée. Pour les uns, cette imperfection symbolise l’acceptation de ses propres défauts, l’une des clés de la sagesse et de la paix intérieure. Pour d’autres, elle relève de la transmission du savoir, un mythe voulant que Ganesh ait lui-même cassé sa défense pour graver le Mahabharata, l’un des livres sacrés de l’hindouisme, le plus long poème de l’Humanité avec ses 250 000 vers.
Mais, au fait, d’où lui vient cette tête éléphantine si singulière ? D’une sacrée boulette de papa Shiva ! Celui-ci parti guerroyer pendant de longues années, Parvati, son épouse, au bout de l’ennui, a l’idée de faire un bébé toute seule avec de la terre, du safran et de la rosée. Ainsi naît Ganesh ! Cet enfant prodige qui jouit d’un physique de rêve et d’un courage sans pareil, fait immédiatement la fierté de sa mère. Tant et si bien qu’un beau jour, désireuse de prendre un bain tranquillement, elle confie au bambin, pour le moins précoce, la garde de ses appartements, lui stipulant de ne laisser entrer personne. Et bien sûr, c’est le moment choisi par Shiva pour rentrer au foyer. Ganesh et l’époux de sa mère se retrouvent ainsi face à face pour la première fois, ignorant tout l’un de l’autre. Ce qui devait arriver arriva. Shiva tente de forcer la porte de son épouse tandis que Ganesh la défend avec autant de vaillance que d’acharnement. Jusqu’à en perdre la tête dans la bataille ! Une décapitation qui passe mal auprès de Parvati, d’autant que la tête du gamin a roulé si loin que nul ne parvient à la retrouver. Alors, Shiva, comprenant sa bévue, promet à sa belle de la réparer en ressuscitant son fils avec la tête de la première créature qui se présenterait à lui. Et comme vous l’avez sans doute deviné, le sort a voulu que ce soit un éléphanteau. Et voici comment Ganesh s’est retrouvé avec une trompe et… un père !
À Maurice, la religion ne sépare pas les gens ; elle les rassemble. Les fêtes hindouistes en sont un parfait exemple. Ces célébrations, à la fois hautes en couleur et chargées de symbolisme, occupent une place centrale dans le calendrier mauricien. Or, même si toutes les communautés insulaires ne les vivent pas avec la même intensité, elles en partagent largement les valeurs : la vertu, la bienveillance, la joie, la fraternité.
Connaissez-vous Ganesh ? Mais si, vous savez bien, le dieu hindou à tête d'éléphant ! Eh bien, figurez-vous que cette créature à quatre bras et une trompe est la divinité la plus populaire parmi les croyants. Et ceux de Maurice ne font pas exception. D'ailleurs, leur amour pour le fils de Shiva se mesure pleinement à l’enthousiasme des grandes foules qui, dans toute l’île, battent le pavé lors de Ganesh Chaturthi, sa fête annuelle (qui est aussi un jour férié !).
Organisé entre la fin août et le début septembre pour célébrer l’anniversaire de la divinité éléphantesque, cet événement donne lieu à dix jours de liesse et de dévotion. Chaque famille installe alors au milieu du foyer une statue du dieu — faite « maison », le plus souvent ! — et la couvre régulièrement d’offrandes : des fleurs, des fruits, des bougies, des lampes à huile et, bien sûr, des modak. Ces boulettes sucrées et garnies de noix de coco seraient, raconte-t-on, le péché mignon de Ganesh. On comprend mieux d'où lui vient son éternel petit bidon.
À LIRE AUSSI :
Ces actes de piété se terminent en apothéose quand, le dernier jour de Ganesh Chaturthi, tous les Mauriciens ou presque descendent dans la rue pour suivre ou admirer une multitude de processions joyeuses et colorées, accompagnées de danses et de chants. Un point commun à tous ces défilés : le visarjan, l’immersion des idoles du dieu à tête d’éléphant dans une rivière, un lac ou la mer. Un geste symbolique qui conclut la cérémonie et, par la même occasion, marque le départ de Ganesh dans les montagnes de Kailash où il a élu domicile, le dieu étant alors censé emporter avec lui tous les malheurs et les péchés des hommes.

Les fameux modak, la gourmandise préférée de Ganesh.
Une explosion de couleurs
Les Mauriciens ont le goût de la fête et, au-delà du Ganesh Chaturthi, l’hindouisme leur offre de nombreuses occasions de le satisfaire. En février, on célèbre Maha Shivaratri, « la nuit du Seigneur Shiva ». Après plusieurs jours de jeûne et d’abstinence, près de 400 000 croyants, soit un tiers des Mauriciens, entament le Kanwar Yatra, un pèlerinage qui les conduit jusqu’au lac sacré de Grand Bassin où les attend une grande nuit de prière. Une marche pétrie de tolérance, l’ensemble des Mauriciens, quelle que soit leur confession, ravitaillant les pèlerins en eau et en nourriture, tout au long du chemin.
En mars, à l’heure de la pleine lune, Maurice célèbre Holi, la fête des couleurs et des moissons. Tout commence par un feu de joie, le Holika Dahan, inspiré par la légende de Holika, une princesse maléfique qui périt sur le bûcher qu’elle destinait à Prahlad, son neveu, une âme pure et dévouée à Vishnu. Le lendemain, de grandes foules descendent dans la rue ou se retrouvent sur la plage pour danser, chanter et recouvrir ses voisins, de la tête aux pieds, de gulal, des poudres colorées porteuses de vœux et d’espoir. Le rouge symbolise l’amour, le vert, la prospérité, le bleu, la tranquillité, et le jaune, l’optimisme. Une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie !

© Adobe Stock/Evelyn Kobben
Plus spectaculaire encore... Thaipoosam Cavadee, qui se tient en février, est propre à la communauté tamoule. Il s’agit pour elle d’honorer le Seigneur Muruga, le dieu de la guerre et de la sagesse, par des actes de purification et de contrition. C’est ainsi que les croyants partent en procession avec, juché sur leurs épaules, leur cavadee, une arche de bois décorée de fleurs multicolores, de palmes de cocotiers, d’images pieuses ou bien encore de plumes de paon. Pour plus de solennité, certains dévots choisissent de faire vœu de silence. Et ils le montrent ! Ils se plantent dans la langue ou en travers des joues des aiguilles d’argent et des lancettes métalliques. Comme le dit une formule consacrée : âme sensible, s’abstenir.
Que la lumière soit...
S’il est une fête hindoue qui met Maurice en beauté, c’est assurément Divali, la fête des lumières. Elle célèbre la victoire du bien contre le mal, celle du Seigneur Rama contre le démon qui avait osé enlever Sita, son épouse : un certain Ravena. Le mythe veut que, pour fêter le retour du héros, les habitants d’Ayodhya, la cité où le couple divin avait élu domicile, aient illuminé la ville avec des rangées de diyas, de petites lampes à huile. Elles représentent la lumière qui guide et éclaire l’esprit, en chassant ces ténèbres que sont la peur et l’ignorance. Et voilà comment, aujourd’hui encore, une multitude de flammes et de guirlandes brillent dans les nuits mauriciennes, chaque automne, entre la fin octobre et novembre. Un spectacle vraiment féerique et... hautement symbolique.
L’époque est doublement magique car les Mauriciens sont alors à l’image de leurs décors : lumineux. Il faut dire que Divali déborde largement du cadre religieux pour générer dans toute la population un grand élan d’humanité, d’optimisme et d’allégresse. On prend quelques congés, on s’offre des cadeaux, on visite parents et amis, de sorte qu’à l’approche de l’été austral, tout le pays est à la fête, multipliant les concerts et feux d’artifice, tandis que les foyers comme les plages retentissent des rumeurs joyeuses de repas épiques.
On s’y régale notamment de quelques sucreries locales. Il y a les gulab jamun que les Tamouls mauriciens appellent aussi bonbon kalou ; ce sont des beignets parfumés à la cardamome et servis avec un épais sirop à l’eau de rose. Citons également les nankhatai, de petits sablés à la cardamome, les ladoo besan, des boulettes sucrées à base de farine de pois chiches (le besan ; d'où le nom de cette spécialité) et les gâteaux patate qui associent une pâte à la patate douce frite à une farce mariant la noix de coco, la cardamome et le sucre de canne. Des délices que vous serez forcément amené(e) à goûter si vous séjournez à Maurice durant Divali. En effet, les Mauriciens, qui ont généralement le sens du partage, font alors preuve d’une générosité carrément exacerbée. Et elle n’oublie personne, pas même les voyageurs !

© Adobe Stock/LR Photographies
L'arbre à promesses
S’il est un arbre loué par tous les Mauriciens, c’est bien le flamboyant. Déjà, parce que ses fleurs écarlates les ravissent. Ensuite, parce que sa grande couronne en forme de parasol leur prodigue une ombre des plus agréables. Enfin et surtout, parce que sa floraison spectaculaire est annonciatrice d’une période qu’ils apprécient tout particulièrement : celle des fêtes de fin d’année.
En effet, cet arbre ornemental originaire de Madagascar, importé dans l’île dès 1830, commence à « rougir » dans les derniers jours d’octobre, à l’approche de l’été austral. Or, c’est également l’époque de Divali, une célébration hindoue adoptée par toutes les autres communautés religieuses. Si tous les Mauriciens festoient alors allègrement, leurs entreprises marquent aussi le coup, l'arrivée de la « fête des lumières » décidant de la clôture de leurs comptes, des soldes, de leur fermeture annuelle et du versement de primes aux salariés. D’où ce surnom malicieux du flamboyant : le pie bonis (dites pié bonis), l’arbre bonus.
Il en est un autre : « l’arbre de Noël de Maurice », sa rutilance s'accordant parfaitement avec la chaleur et la fraternité de la Nativité qui, ici comme en Europe, donne lieu à un grand jour de liesse et de partage. L’histoire ne dit pas si le Père Noël — une autre espèce de « flamboyant » ! — débarque au réveillon en tongs, mais il ne doit pas chômer, vu le nombre de marchés de Noël organisés sur toute l’île et les horaires d'ouverture à rallonge des centres commerciaux pendant le mois de décembre.
Les restes de la dinde à peine finis, on remet ça avec le Nouvel An. Une java de plus à laquelle s’invitent forcément les fameux flamboyants puisque, durant la période des vœux, il est coutume d’offrir ou de décorer son propre intérieur de leurs fleurs que l'on dit volontiers chargées d'énergie positive. Une charmante tradition qui vaut à l’arbre un troisième et dernier surnom : le bouke banane (prononcez bouké banané), le bouquet de la bonne année.

L'arbre à promesses
Tous les Mauriciens le savent et, par conséquent, l'attendent avec impatience... Quand le flamboyant flamboie de tous ses feux, de toutes ses fleurs, l'île prend ses quartiers d'été (austral), les écoliers remisent leur cartable sous le lit, le temps des Grandes Vacances, les primes et les congés payés pleuvent sur les salariés et, pour tous, l'heure est à la fête.
POURSUIVEZ VOTRE DÉCOUVERTE DE L'ÎLE MAURICE...
POURSUIVEZ VOTRE DÉCOUVERTE DE L'ÎLE MAURICE...

L'île aux trésors
Vos valises sont faites et votre avion réservé ? Avec ilesdereve.com, finissez de préparer votre escapade mauricienne en découvrant notre sélection des plus beaux sites de l'île.

Port-Louis, la capitale
S'il ne doit y avoir qu'une seule ville mauricienne inscrite à votre planning, c'est obligatoirement Port-Louis. Pourquoi ? Parce qu'en plus d'être la capitale de l'île, elle en est le parfait reflet.

Toute une histoire...
À Mahébourg, ancienne capitale de Maurice, un musée vous raconte l’histoire courte, mais mouvementée, de l’île.

Le vivre ensemble
des Mauriciens
Si Maurice fut longtemps une île sans peuple, elle est aujourd’hui un monde en miniature.

L'île aux trésors
Vos valises sont faites et votre avion réservé ? Avec ilesdereve.com, finissez de préparer votre escapade mauricienne en découvrant notre sélection des plus beaux sites de l'île.

Port-Louis,
la capitale
S'il ne doit y avoir qu'une seule ville mauricienne inscrite à votre planning, c'est obligatoirement Port-Louis. Pourquoi ? Parce qu'en plus d'être la capitale de l'île, elle en est le parfait reflet.

Toute une histoire...
À Mahébourg, ancienne capitale de Maurice, un musée vous raconte l’histoire courte, mais mouvementée, de l’île.

Le vivre ensemble mauricien
Si Maurice fut longtemps une île sans peuple, elle est aujourd’hui un monde en miniature.